Mangas/Japon
Mangas/Japon

Lorsque l'on rencontre quelqu'un, on doit éviter les contacts physiques, pas de bise ni de poignée de main, mais on s'incline légèrement. Une légère et rapide inclinaison de la tête suffit.
Pour s'excuser on utilise le mot « sumimasen » (désolé), accompagné d'une brève inclinaison de la tête. Si l'on éprouve un sentiment de culpabilité on dira plutôt « gomen nasai » (pardon).
Ne pas fumer dans la rue sauf aux endroits prévus à cet effet, c'est interdit par la loi. À Tokyo le montant de l'amende est de 2 000 yens (environ 16€).
Ne rien jeter dans la rue et trier les ordures dehors comme à la maison.
Eviter de s'embrasser en public.
Eviter de manger dans la rue ou dans le train.
Sur un escalator se serrer du côté gauche pour laisser passer les gens du côté droit (à Osaka c'est le contraire).
On attend le bus, le train ou le métro en file indienne, on ne se bouscule pas et on laisse sortir les gens avant de rentrer. Les bousculades sont tout de même fréquentes devant les trains/métros lors des rushs.
Eviter de se moucher en public, surtout dans un mouchoir en tissu. Au Japon un mouchoir en tissu sert à s'essuyer les mains après les avoir lavées uniquement.
Soyons honnête quelques instants. En France je n'ai jamais eu l'impression d'être un garçon spécialement populaire auprès des filles. Mais le simple fait de poser le pied au Japon a objectivement multiplié par 100 l'impact que j'ai sur la gente féminine. Ça n'est pas moi qui ai changé, c'est le regard que l'on porte sur moi qui est totalement différent.
Ce n'est pas un secret les Japonaises sont souvent attirées par les étrangers, ou du moins par un certain type d'étrangers. Je vais vous dire pourquoi!
Le physique est évidemment le point essentiel. On peut dire tout ce qu'on veut sur le beauté intérieure, ce que l'on remarque en premier chez quelqu'un, à moins d'être malvoyant, c'est son physique. Quand on se trouve dans un pays asiatique dont la population d'étrangers est de moins de 2%, et que parmi ces 2% la grande majorité est chinoise ou coréenne, on sort vite du lot en étant Blanc. En tant que personne occidentale on devient alors un « objet » rare et exotique qui attire l'œil, on devient spécial.
L'Occidental a deux énormes avantages côté physique: 1. il est constitué de façon radicalement différente des Japonais, et 2. il répond souvent aux critères de beauté recherchés par les Japonaises.
Vous connaissez sûrement l'expression « les opposés s'attirent », et vous savez que l'on recherche souvent chez son partenaire les choses qui nous manquent. Eh bien ça n'a jamais été aussi vrai qu'au Japon. Les Japonais et Japonaises ont un physique très spécial, même comparés aux autres populations asiatiques. Ils sont assez petits avez des membres courts, une tête de forme arrondie et bien sûr ils ont les cheveux épais, et des yeux foncés. Autant dire que si vous êtes un grand blond aux yeux bleus c'est le combo qui tue au Japon. Une grande taille et de grandes jambes sont des traits qui plaisent énormément. On me fait des commentaires sur mes jambes tout le temps ici. Notez qu'au Japon vous êtes grand dès que vous faites 1m75, et même 1m70 c'est déjà pas mal. Pour ma part je mesure 1m83 et ça me paraît être la taille idéale. Mais des amis plus petits ou même bien plus grands rencontrent à première vue autant de succès que moi. Les autres caractéristiques physiques qui rapportent beaucoup de points sont les yeux clairs (le top étant le bleu) et les cheveux clairs et fins. J'ai la chance d'avoir tout ça. De mon point de vue je trouve qu'avoir les cheveux longs et de la barbe est un plus aussi car ce sont deux choses très rares au Japon.
Que ça soit chez les étrangers ou non, les Japonaises aiment souvent les personnes avec une peau claire. C'est un peu le contraire de l'Occident où le bronzage est généralement un bon point. Ici avoir une peau foncée n'est pas vraiment un bon point. Ça évoque même plutôt des choses négatives. Ça rappelle par exemple les gens qui travaillent dans les champs et c'est donc synonyme d'une classe sociale moins élevée. Ça laisse aussi penser que la personne passe beaucoup de temps à s'amuser dehors, et donc n'est pas sérieuse, ou alors qu'elle attache une trop grande importance à son image et qu'elle est égocentrique et ne saura pas porter attention à son partenaire correctement. Je suis blanc comme un cachet d'aspirine.
Dans le même ordre d'idée on remarque aussi que les Japonaises envisagent plus facilement des relations à long terme avec des hommes qui ne sont pas musclés. Encore un bon point pour moi. J'ai vu à la télévision une émission très révélatrice à ce sujet. Deux hommes de taille identique étaient présentés dans la rue torse nu et la tête couverte. L'un d'eux était musclé, sans exagération mais il avait un physique de sportif, et l'autre était épais comme une tringle à rideaux. On demandait à toutes les jeunes filles qui passaient de coller un autocollant sur le corps du garçon avec lequel elles préfèreraient sortir. À la fin du test le garçon bien bâti avait seulement deux autocollants sur lui alors que le chétif en était recouvert. Quand on demandait aux filles la raison de leur choix elles disaient toutes que les hommes moins musclés inspirent plus confiance. Ils sont du genre à étudier et à travailler plutôt qu'à s'amuser, ils ont l'air plus gentils et attentionnés, et semblent plus enclins à donner priorité à leur famille qu'à leur propre personne.
Ça ne se vérifie pas toujours avec les étrangers dont le côté masculin et rassurant est souvent apprécié, mais on retrouve facilement cet aspect culturel avec les idoles masculines. Alors qu'en Occident les filles préfèrent souvent les ténébreux musclés, les Japonaises aiment les garçons qui ont l'air gentil et fragile.
Au Japon l'impression de plaire est en plus multipliée grâce à deux facteurs. Premièrement les Japonais et surtout les Japonaises ont le compliment facile, même si c'est parfois par pure politesse, et n'hésitent pas à faire des compliments en abondance sur le physique. Mais bien au delà de ça la chose qui boost le plus l'égo c'est d'entendre dans la rue des « kakkoii » (garçon cool ou classe) ou des « ikemen » (beau garçon) dans les conversations de filles peu discrètes qui pensent que l'on ne comprend pas le japonais.
Au Japon l'image de l'Occidental est très positive. C'est celui qui apparaît dans les films américains et qui a toutes les qualités, il est romantique, sûr de lui et cultivé. Je suis arrivé au Japon quand le film « Pirate des Caraïbes » faisait un carton et avec mes cheveux longs et ma barbe on m'a dit des dizaines de fois, peut-être même des centaines, que je ressemblais à Johnny Depp qui est extrêmement apprécié au Japon. Bien sûr je suis très loin de lui ressembler et je n'aurais jamais entendu ça en France. Mais les Japonais ont cette tendance à faire le rapprochement des étrangers qu'ils rencontrent avec leurs références qui peuvent être des acteurs, des musiciens ou des personnages politiques ou historiques. Et comme les personnes blanches connues au Japon sont presque tout le temps très charismatiques et évoquent le succès cela a un impact très positif sur les étrangers qui viennent au Japon. Et par voie de conséquence on peut penser que pour une Japonaise, sortir avec un Blanc donne un sentiment de réussite, elle devient à son tour une personne exceptionnelle, on la regarde dans la rue, on s'imagine qu'elle parle l'anglais couramment etc.
Et être Français est le top du top. Autant être Américain pourra être un désavantage dans certains cas (les Américains savent comment se faire détester à l'étranger) autant il n'y a que de bons côtés à être Français. Nous sommes les représentants de la culture, des bonnes manières, de la nourriture fine et du romantisme. Tous les Japonais connaissent la France et 700 000 d'entre eux y partent chaque année en voyage. Autant dire que l'on commence un 100m le vent dans le dos et avec 50m d'avance sur les autres. Par contre sur une longue distance on risque peut-être de décevoir donc il faut bien gérer sa course et ne jamais oublier le « Lady first ». Objectivement les Français (et sûrement d'autres aussi mais je parle de ce que je connais) ont de sacrés avantages culturels dans les relations hommes-femmes. Le Japonais n'aura pas forcément le réflexe de retenir une porte ou de payer l'addition lors d'un rendez-vous galant alors que ce sont des choses que beaucoup d'étrangers font naturellement. Le Japonais n'aura pas non plus la même notion de la répartition des tâches ménagères qu'un Français qui lave la vaisselle et sait faire tourner une machine.
Une fois passée l'étape de l'apparence l'étranger a encore beaucoup de cordes à son arc pour séduire. Un étranger au Japon est par nature une personne qui connaît au moins une autre culture et qui parle au moins une langue étrangère. Or les Japonais font preuve d'un réel respect pour les personnes qui connaissent des choses qu'ils ne connaissent pas. Question culture générale les étrangers ont aussi un avantage certain sur les Japonais et donnent facilement l'impression de tout savoir sur tout. Plusieurs raisons à cela. Le Japon est une île, il faut prendre l'avion pour aller dans un autre pays et du coup le reste du monde paraît loin. Par conséquent les Japonais ont plus de mal à s'intéresser à ce qui se passe ailleurs que chez eux et la quasi-totalité des nouvelles concernent le Japon, ou au plus loin les relations tendues avec la Chine et les deux Corées. Il faut dire qu'ils ne sont pas aidés par la télé qui est un média de pur divertissement avec lequel on apprend très difficilement des choses intéressantes. Les Japonais n'ont pas non plus l'habitude de lire des articles sur le net, souvent par manque d'intérêt mais aussi beaucoup par manque de temps. Et puis un autre facteur joue beaucoup. Le Japon a une industrie du film, une industrie de la musique, une industrie des séries tv, une industrie du manga et de l'animé qui sont toutes extrêmement développées. Les création étrangères pénètrent alors plus difficilement sur le marché japonais ainsi que toute la culture qui va avec. Dans ces conditions les Français donnent vite l'impression de tout connaître sur la culture populaire et de s'intéresser à ce qui se passe dans le monde. En plus les étrangers qui viennent au Japon s'intéressent logiquement à la culture japonaise et souvent ils sont capables d'apprendre des choses sur le Japon aux Japonais eux-mêmes, car même quand il s'agit de leur propre pays les Japonais s'intéressent rarement à l'histoire, à la politique et même à certains pans de la culture populaire. Bref l'étranger est intéressant même quand il parle.
L'humour par contre est une arme à double tranchant. Cela peut-être un atout formidable mais il reste trop souvent incompris. L'humour français est particulièrement difficile à saisir en dehors de la France et tout ce qui est humour noir, blagues lourdes, et vannes à 2 euros n'auront pas beaucoup de succès auprès des Japonaises. Il faut trouver la forme d'humour qui plaît et pour cela maîtriser le japonais est un grand avantage. Je ne peux pas m'empêcher de dire des conneries et que ça soit au boulot ou avec des amis ou la famille ça passe plutôt bien. Mais certaines personnes prennent absolument tout au premier degré et je lis souvent l'incompréhension et l'étonnement sur le visage de mes interlocuteurs. Et forcément il n'y a rien de plus nul que de devoir expliquer une blague. Ça ne suffit pas de sélectionner son humour, certaines personnes restent parfois imperméables aux « French Jokes », mais autant rester naturel.
En cherchant bien on pourrait trouver encore bien des avantages à être un étranger au Japon. Par exemple les Japonaises voient parfois le fait de sortir avec un Blanc comme une solution pratique pour apprendre l'anglais ou de mettre un peu de piment dans leur vie. Beaucoup de Japonaises aussi rêvent d'avoir un enfant métis car en général les « half » comme on dit ici sont beaux et intelligents. Mais on trouve aussi de nombreux désavantages, et on parlera de ça dans un autre article.
Pour s'excuser on utilise le mot « sumimasen » (désolé), accompagné d'une brève inclinaison de la tête. Si l'on éprouve un sentiment de culpabilité on dira plutôt « gomen nasai » (pardon).
Ne pas fumer dans la rue sauf aux endroits prévus à cet effet, c'est interdit par la loi. À Tokyo le montant de l'amende est de 2 000 yens (environ 16€).
Ne rien jeter dans la rue et trier les ordures dehors comme à la maison.
Eviter de s'embrasser en public.
Eviter de manger dans la rue ou dans le train.
Sur un escalator se serrer du côté gauche pour laisser passer les gens du côté droit (à Osaka c'est le contraire).
On attend le bus, le train ou le métro en file indienne, on ne se bouscule pas et on laisse sortir les gens avant de rentrer. Les bousculades sont tout de même fréquentes devant les trains/métros lors des rushs.
Eviter de se moucher en public, surtout dans un mouchoir en tissu. Au Japon un mouchoir en tissu sert à s'essuyer les mains après les avoir lavées uniquement.

Les Français, Belges et Canadiens peuvent séjourner 90 jours au Japon sans visa.Lors d'une première rencontre, il est d'usage d'utiliser les formules de politesse « hajimemashite » (enchanté de vous rencontrer) en guise d'introduction, puis lorsque les présentations sont finies on dira alors « yoroshiku onegaishimasu » (je m'en remets à vous).
Lorsque l'on rencontre quelqu'un, on doit éviter les contacts physiques, pas de bise ni de poignée de main, mais on s'incline légèrement. Une légère et rapide inclinaison de la tête suffit.Pour s'excuser on utilise le mot « sumimasen » (désolé), accompagné d'une brève inclinaison de la tête. Si l'on éprouve un sentiment de culpabilité on dira plutôt « gomen nasai » (pardon).
Ne pas fumer dans la rue sauf aux endroits prévus à cet effet, c'est interdit par la loi. À Tokyo le montant de l'amende est de 2 000 yens (environ 16€).
Ne rien jeter dans la rue et trier les ordures dehors comme à la maison.
Eviter de s'embrasser en public.
Eviter de manger dans la rue ou dans le train.
Sur un escalator se serrer du côté gauche pour laisser passer les gens du côté droit (à Osaka c'est le contraire).
On attend le bus, le train ou le métro en file indienne, on ne se bouscule pas et on laisse sortir les gens avant de rentrer. Les bousculades sont tout de même fréquentes devant les trains/métros lors des rushs.
Eviter de se moucher en public, surtout dans un mouchoir en tissu. Au Japon un mouchoir en tissu sert à s'essuyer les mains après les avoir lavées uniquement.
Pour une chambre de type japonaise dans un ryokan le prix tourne souvent autour de 10'000 yens (75€) pour les moins chers. Le principal inconvénient de ce type d'hôtel est qu'un couvre-feu est souvent imposé aux clients.
Pour les budgets plus serrés il est possible de trouver des chambres à environ 7'000 yens (50€), même à Tokyo, dans des hôtels de genre business hôtel. Les chambres sont très petites mais propres et sans couvre-feu.
- Le train et le métro dans les grandes villes japonaises sont extrêmement pratiques et bien organisés ce qui en fait souvent le mode de transport idéal. Que ce soit au niveau du tarif ou du fonctionnement le train et le métro sont semblables, à la différence près que le métro est sous terre. Un déplacement coûte au minimum 130 yens en train et 160 yens en métro (environ 1€) et ça peut aller jusqu'à 1'000 ou 1'500 yens (7.50 € à 11€) si l'on se déplace assez loin (jusqu'à l'aéroport ou Yokohama par exemple). Pour un déplacement dans le centre de Tokyo on peut compter une moyenne de 200 yens (1.50€) par déplacement.
- Le bus devient presque inutile dans une ville comme Tokyo ou Osaka et il est de toute façon assez difficile à utiliser pour les touristes. Dans une plus petite ville en revanche il est un moyen de locomotion pratique, notamment à Kyoto où l'on peut se procurer un pass de bus pour la journée à 500 yens (3.5€) - moitié prix pour les enfants.
- Le bus devient presque inutile dans une ville comme Tokyo ou Osaka et il est de toute façon assez difficile à utiliser pour les touristes. Dans une plus petite ville en revanche il est un moyen de locomotion pratique, notamment à Kyoto où l'on peut se procurer un pass de bus pour la journée à 500 yens (3.5€) - moitié prix pour les enfants.
Un restaurant au Japon coûte le plus souvent par personne entre 1'000 yens (7.50€) et 5'000 yens (37€). Au-delà de 3'000 yens (22€) on commence déjà à arriver dans les bons restaurants mais on peut se faire plaisir pour 1'000 yens en connaissant les bonnes adresses.
Le repas le moins cher que l'on puisse trouver tourne autour de 350 yens (2.5€) avec par exemple un bol de riz avec du porc (butadon) ou du bœuf (gyudon) chez Yoshinoya, ou alors un bento au 7/eleven. On peut trouver encore moins cher avec une cup ramen ou un Mac Chicken à 100 yens (0.75€) si on a un petit estomac.
Le prix des bons restaurants débute à 3'000 yens mais il faut compter entre 5'000 yens (37€) et 10'000 yens (75€) au minimum pour découvrir des plats d'exception comme le fugu ou le bœuf de Kobe.
Pensez aussi à ajouter le prix des boissons à votre budget restauration, surtout en été où il fait très chaud. On peut passer jusqu'à 1'000 yens par jour dans les distributeurs automatiques en eau ou coca-cola.
L'été au Japon c'est la période des feux d'artifice. On peut en compter des centaines entre juillet et septembre, et ils sont l'une des activités les plus populaires auprès des Japonais.
En général le spectacle débute un peu après 19h mais certains arrivent dès le matin pour avoir de bonne places. Parfois il est même possible de réserver son emplacement plusieurs mois à l'avance. Les Japonais voient les feux d'artifice comme l'occasion d'improviser un petit pique-nique en famille ou entre amis. Les petits groupes cherchent des emplacements libres ou poser leur nappe en plastique, puis commencent à déballer bières et bentos pour grignoter durant les une heure et demi que dure le feu d'artifice en général.
Les feux d'artifice japonais sont grandioses et déplacent des foules énormes. À Tokyo il est fréquent que plus d'un million de personnes assistent à l'un de ces évènements. Parmi les spectateurs on peut en voir un grand nombre habillés en yukata, un genre de kimono d'été, et s'éventant à l'aide d'un éventail. C'est l'occasion de se rendre compte que le Japon arrive à préserver une culture traditionnelle malgré la modernité qui entoure chaque acte du quotidien.
À chaque fois le spectacle est différent, il varie énormément selon les organisateurs, le point de vue, les conditions météo ou l'emplacement que vous aurez choisi; si bien que l'on peut revenir encore et encore sans jamais se lasser.
Les feux d'artifice sont toujours gratuits bien que parfois il soit possible d'acheter des places payantes, autant pour profiter d'un bon point de vue que pour éviter les bousculades dans la masse de gens qui se déplace.
Pour savoir à quelles dates et où sont organisés les feux d'artifice achetez un magazine sur le sujet dans un combini (supérette japonaise). Pour chaque évènement sont indiquées des informations pratiques comme le nombre de visiteurs de l'année précédente ainsi que le nombre de fusées tirées.
Le Wonder Festival (ou Wonfes, ou encore Wonfest), est un salon de la figurine qui se tient deux fois par an, en hiver et en été, au Makuhari Messe à Chiba, près de Tokyo. C'est un énorme évènement au cours duquel tous les grands fabricants de figurines ou « garage kits » dévoilent en exclusivité les modèles qui vont sortir dans les 6 mois à venir. À côté des grands noms du secteur comme Bandai, Kotobukiya, Mega House, Good Smile Company, Alter et d'autres, sont aussi présents des entreprises moins connues ainsi que des particuliers venus vendre leurs modèles. Une partie du salon est aussi réservée aux plus de 18 ans.
Si l'intérieur du centre d'exhibition est consacré aux figurines, l'extérieur est envahi par des centaines de cosplayers et de personnes venues les prendre en photo. Contrairement à d'autres évènements qui attirent de nombreux cosplayers, le Komike par exemple, la photographie « sauvage » n'est pas autorisée. Au Wonder Festival il est nécessaire d'attendre son tour, à la file, pour prendre les participants en photos.
Ouverture au public:
L'évènement se déroule sur une seule journée, le dimanche, de 10h à 17h.
Awaodori ou Awa-odori signifie littéralement « danse de Awa », il s'agit d'un style de danse traditionnel qui se danse en groupe dans la rue lors de défilés. Les femmes sont habillées de vêtements élégants et coiffées de chapeaux qui leur cachent le visage, et elles se déplacent gracieusement en groupes compacts. Les hommes, eux, bougent au rythme de pas de danse étranges, à la fois puissants et effrayants, dans un apparent désordre. L'ambiance et le rythme sont donnés par des instruments de musique traditionnels, particulièrement des taiko (tambours japonais) qui font vibrer jusqu'au sol des rues.
À Koenji les groupes se succédent en empruntant aussi bien les grandes avenues que les petites rues commerçantes et le spectacle est très différent en fonction de l'endroit où l'on se trouve. Dans les rues principales qui accueillent le gros du spectacle la foule est dense et il faut batailler pour trouver sa place et voir le défilé. Dans les petites rues le spectacle était plus intime, la foule est toujours compacte mais on peut se déplacer un peu plus facilement et on se trouve rapidement au cœur de l'animation.
Le Samba Festival est un carnaval qui a lieu tous les ans fin août à Asakusa, et qui attire environ 500'000 personnes. C'est l'un des gros évènements de l'été dans la capitale.
Le Samba Festival d'Asakusa se résume en une parade qui s'étale sur deux rues d'à peine quelques centaines de mètres. Avec la foule impressionnante il est très difficile de circuler dans la rue et presque impossible de trouver une bonne place sans venir au moins une heure avant le début du défilé.
Loin de l'esprit de carnaval de Rio, le festival d'Asakusa attire bien plus que des danseuses de samba. Les personnes qui défilent sont souvent désorganisées et se contentent de marcher en saluant la foule dans des déguisements étranges.
Le Yosakoi est un style de danse japonais dynamique et coloré qui se danse en groupe, et qui mixe danse traditionnelle et danse moderne. Le festival Super Yosakoi de Harajuku est immense, avec plusieurs scènes de danse et un défilé. Les groupes venant de tous le pays sont nombreux et diversifiés, et beaucoup de jeunes participent. Les spectateurs sont nombreux également, mais comme le festival occupe un très grand espace on ne bouscule jamais, ce qui est plutôt rare pour un festival de cette importance à Tokyo.
On aime : Tout ! Les chats, la déco, le staff, les activités...
Il y a beaucoup de cafés à chats à Tokyo et on ne les connaît pas tous. Mais on peut vous dire avec assurance que celui-ci est l'un des meilleurs.
Le café en lui-même est comme neuf. Il s'étend sur deux étages très cosy et bien entretenus. Autant les chats que les clients peuvent trouver un coin de tranquillité pour se relaxer.
Entre les boissons à volonté, les mangas disponibles, les activités (donner à manger au chats, apprendre leurs noms...), les photos à prendre, les conversations avec les autres clients qui sont facilitées dans ce genre d'endroit, et bien sûr l'interaction avec les félins on ne voit pas le temps passer. Ce qui peut faire un peu mal au porte-monnaie car on paye au temps passé.
Lors de notre passage presque une trentaine d'animaux se baladaient dans le café. Tous étaient amicaux, à l'image du staff jeune et souriant qui nous a extrêmement bien accueillit. Une bonne expérience, seul, avec des amis, en amoureux ou avec des enfants.
Prix: 200 yens les 10 minutes, 350 yens les boissons à volonté, 500 yens le bol de nourriture pour chats.
